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 Novembre - Salle de bain des préfets.

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Sulpicia I. Mulciber
Serpentard
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Sulpicia I. Mulciber


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MessageSujet: Novembre - Salle de bain des préfets.    Novembre - Salle de bain des préfets.  EmptySam 30 Juin - 17:09



Bleus et révélations
ft. Sirius O.Black & Sulpicia M.


Voilà  deux semaines que j’évitais Sirius dans les couloirs, ne lui parlant qu’en cours de métamorphose par obligation (nous étions en duo pour l’année) sans jamais répondre à ses questions sur notre relation secrète. Plus il me posait des questions et plus je me renfermais comme une huitre ! Je n’y pouvais rien, cela faisait deux mois que l’on se côtoyait et si je ne m’ouvrai encore que peu –contrairement à lui- ce n’était pas du à un manque de confiance envers le jeune homme… mais plus à ma propre timidité et à mes habitudes de solitaire. Contrairement à celui-ci je n’avais pas d’amis, mon éducation voulait que je ne me confiais pas à mes parents ou mon frère me contentant de sembler parfaite…
Alors, lorsqu’il trouva mes herbes à fumer et négocia pour prendre les commandes lors de notre soirée, le beau brun me dérouta… Il avait eu beaucoup plus de liberté que lors de nos dernières rencontres. En vérité, il était le seul a avoir eu ce genre de liberté : il avait prit son temps pour explorer mon corps trouvant mon point sensible. Ses lèvres avaient fait le tour de mon corps allant jusqu’à m’offrir une jouissance que nul ne m’avait donné !
J’étais déroutée. Réellement ! Me retrouver en dessous m’avait réellement plu, sentir ses lèvres chaudes sur ma poitrine et ses mains sur mon fessier avait été si agréable ! Jamais je n’avais vécu tant d’émotion en une soirée… A un tel point que mon corps en réclamait encore ! C’en était à ne plus savoir que penser ! J’étais sortie de la salle sur demande les joues encore rouges, devant m’appuyer sur le mur froid durant quelques minutes pour reprendre mes esprits. Comment avais-je pu en arriver là ? Je posai mes doigts sur mes lèvres, pensive. Pourquoi l’avais-je embrassé avant de partir ? Ca ne me ressemblait pas ! Jamais je ne l’embrassai comme je venais de le faire avant de partir ! Ce n’avait pas été un petit baiser comme toujours, non, je m’étais collée contre lui, jouant avec ses lèvres quelques minutes et partir.

De retour à la salle commune, tendant toujours de reprendre mes esprits ; mon frère vint me voir pour me demander ou j’en étais dans ma mission auprès de Severus. Nulle part. Severus était difficile d’approche, beaucoup trop amoureux de Lily. J’étais presque transparente en dehors du cours de potion et de nos révisions. Je savais que je n’étais pas désagréable à regarder, même pour lui, mais mon sang et le sien était un fossé presque infranchissable. J’allais dire à mon frère que je me fichais de sa mission, qu’il ferait mieux de remplir sa mission seule, mais Isa’ m’attrapa par la gorge et me colla contre le mur, furieux : « Tu vas faire ce que je te dis sinon c’est toi qui va rejoindre les rangs du Lord et je ne donnerai pas chère de ta peau ! Petite princesse ! » Il me lâcha et partit en pestant. Quant à moi… Je m’étais laissée tomber sur mon lit en soupirant. Cette fois, je me mordis les lèvres en soupirant et en fermant les yeux… Des nuits comme celle-ci ne devait plus se reproduire ! Je devais me concentrer sur ma mission… et éviter Sirius ! Qui n’étais clairement pas d’accord avec ma nouvelle résolution.

Ce fut donc à la fin du cours de métamorphose que le jeune homme agrippa mon poignet pour me trainer dans une salle de classe laissée à l’abandon (elle devait être réutiliser l’année prochaine en tant que salon pour les étudiants). Là, il me demanda de lui rendre compte, désireux de savoir pourquoi je ne répondais plus à ses demandes de rendez-vous et pourquoi je m’appliquais autant à l’éviter. Je n’étais même pas capable de le regarder droit dans les yeux : j’avais bien trop peur de repenser à cette fameuse nuit. Juste plonger mes yeux bleus dans l’encre noir des siens pouvait me perturber. Je n’avais pas besoin de ca maintenant. Lançant quelques regards vers la porte, anxieuse que l’on nous trouve ensemble, je ne répondais toujours pas à ses questions. Il du capter mon attention en m’attrapant par les épaules pour me forcer à le regarder dans les yeux. Sous la surprise, j’entrouvris légèrement les lèvres avant de déglutiner. J’allais exploser si l’on restait plus longtemps dans la même pièce juste tous les deux ! Je ne pouvais pas me laissée aller si près du but ! Severus couchait enfin avec moi, même si c’était douloureux puisqu’il ne se contrôlait pas toujours, je ne pouvais pas me laissée déconcentrée maintenant !

« Je n’ai pas de place dans mon planning en ce moment… J’ai d’autres clients… » Finis-je par lâcher. Je ne pouvais plus ne pas lui répondre. Je n’avais guère le choix… Mon cœur me battait dans les oreilles tandis que je sentais une chaleur naissant dans mon bas ventre. Il me reprocha de lui mentir et de ne plus vouloir le voir. Je ne pouvais lui en vouloir. Mon attitude affirmait ses suppositions. Déconcertée j’us un mouvement de recul, l’observant étonnée par ses paroles et son attitude. J’étais juste perdue après cette nuit sulfureuse et chaude, j’avais d’autres préoccupations en tête, je ne pouvais pas gérer l’épée de Damoclès qui menaçait ma tête et nos pulsions communes pour le corps de l’autre.
Après quelques minutes de réflexion, j’attrapa son visage entre mes mains et lui offrit un baiser endiablé, son corps collé contre le mien… Il sentait l’aftershave et son parfum était toujours autant agréable, mais j’aimais par dessus tout l’odeur de sa peau transpirante. Mes lèvres jouaient avec les siennes, attrapant celle-ci pour les mordiller, les suçoter et danser avec. Mes mains descendirent de ses joues pour descendre sur sa ceinture, finissant par lui murmurer : « Patiente encre un peu… Tu veux bien ? »
Lui demandais-je, frolant mes lèvres contre les siennes tandis que mes grands yeux bleus, brulant, se plantèrent dans les siens. Afin d'appuyer ma question, je me mis à genou devant lui, répétant sans quitter ses yeux brun pour autant : «Tu veux bien ? » Répétais-je glissant sa braguette.



~Une semaine plus tard. ~

Le cours de botanique allait toucher à sa fin alors que j’étais en pleine conversation avec Remus. Nous étions dans la serre numéro 4 depuis déjà une bonne heure. J’aimais la botanique par dessous tout ! Le cours était passionnant et loin de ressembler aux autres proposés par l’école ! Nous pouvions travailler tranquillement loin des regards des autres élèves tant que nos plantes étaient soignées et bien entretenues.
C’est ainsi que je pouvais discuter avec Remus, nous ne partagions pas tout ensemble, mais avions beaucoup de sujets en communs. Nous aimions tous les deux étudier et depuis l’histoire avec Sirius, nous avions encore plus de possibilités de sujets ! Nous discutions innocemment lorsqu’il m’informa que son ami, beau, brun, au corps musclé et aux groupies plus que nombreuses avait eu un accident lors du dernier match de Quidditch. Je fis mine de ne pas écouter m’étonnant de voir une carie sur l’une des mes tentaculas vénéneuse. Remus n’était pas dupe et savait que je n’étais pas insensible à cette information, faisant simplement semblant de ne pas l’écouter. Je pris une des pinces à ma portée de main et tenta d’arracher la dent pourrie de ma plante, tirant dessus de toutes mes forces. Une fois la dent arrachée, la plante alla se cacher sous une autre tandis que je posa ma main sur mon épaule, poussant un petit cris de douleur. Severus n’y avait pas été de main morte la nuit dernière et m’avait froissé un muscle en me faisant faire un faux mouvement. Il ne s’en était pas rendu compte et la douleur c’était réveillée seulement au petit matin.
L’effort physique pour retirer cette dent n’avait pas arrangé la situation… Bien évidemment, Remus le remarqua et m’informa : « Tu as besoin d’un bain pour détendre cette épaule ! La salle de bain est toujours libre le mercredi soir, je te donne le mot de passe… » Il se baissa vers moi et me murmura le mot de passe.



~Quelques heures plus tard. ~

Allongée dans l’immense baignoire de la salle de bain des préfets, je m’étais faite un petite coussin avec une serviette, les coudes sur le bord, je fumais des feuilles de tentaculas séchées. Enfin, j’arrivais à me détendre ! Remus avait eu une idée merveilleuse, ce bain me faisait un bien fou ! J’avais versé dans l’eau l’un de mes filtres pour soulager la douleur, ayant prévu une pate à poser sur mes bleus et mon épaule. Dans mon dos, une radio trafiquée jouait les derniers tubes à la mode que je n’écoutais que d’une oreille discrète. Mes yeux avaient virés au jaune, après tout, mon joint récréatif était bien chargé, je voulais me détendre.
Ne pensant à rien, je soupirai d’aise, m’étirant, gémissant un peu et reprenant ma première position lorsque j’entendis la porte de la salle de bain s’ouvrir…Sur Black !

Vraiment ? « Ah !!... Remus…. »Sérieusement ?! C’était petit de sa part ! Nous piéger pour nous forcer à nous retrouver caché des yeux de tous pour que l’on discute. Nous connaissant nous n’allions guère discuter mais plus se sauter dessus… Un moment de détente avec le brun ne serait pas de refus, vraiment !
Je craignais tout de même qu’il boude : il avait du attendre un mot de ma part qui n’était jamais venu. Je n’avais pas réussi à le voir, Severus se montrait méfiant. Il avait tendance à me surveiller bien qu’il était-lui aussi- au courant qu’il n’était pas le seul. Il ne s’attendait surement pas que le Gryffondor faisait partit de la liste…
C’était plus fort que moi, l’observant sans détour l’observer se déshabiller, je dus utiliser mon don pour camoufler les quelques bleus qui couraient mon corps (dont celui sur ma joue droite). Il se glissa à l’autre bout de la baignoire, me donnant l’irrésistible envie d’aller me coller contre lui, déposer mes lèvres sur les siennes…
Le joint faisant son effet, je répondis à ma pulsion et me rapprocha de Sirius, mon joint au bout de mes lèvres. Il m’avait suffit de nager doucement pour m’asseoir à ses cotés. Je posa mon coude sur son épaule et lui tendis mon joint, attendant sa réponse.
Comment pouvait-il refuser ? Nous étions enfin seuls tous les deux, nu, dans une eau bien chaude, pleine de bulles de couleurs…



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MessageSujet: Re: Novembre - Salle de bain des préfets.    Novembre - Salle de bain des préfets.  EmptyMar 17 Juil - 17:28

Sulpicia & Sirius



« Bah alors Patmol, t’as plus assez de meuf dans la réalité, tu fantasmes aussi la nuit maintenant ? » Me relevant d’un bon, j’essuyai d’une main moite mon front trempé et tirai rapidement mon drap pour me couvrir, cachant ainsi une parti de mon corps un peu trop visible à l’heure actuelle. « Occupes toi de tes fesses Potter  » lâchais-je sans manquer de lui envoyer mon oreiller dessus avant de fermer les rideaux de mon lit à baldaquin le temps de retrouver mes esprits. Sulpicia. Sulpicia et son putain de regard brûlant. Sulpicia et sa putain de bouche sur ma bite, c’est ça qui me mettait dans cet état. Et j’avais beau me dire que ça n’était pas un problème, que c’était normal, je savais au fond de moi que c’était faux. Jamais auparavant je n’avais eu envie à ce point du corps d’une femme. Jamais auparavant cela ne m’avait obsédé à ce point. Et surtout, jamais auparavant je ne m’étais retrouvé dans cette position. Du mec qui attends, qui espère presque. Parce que c’est ce qu’elle avait créé lorsqu’elle avait refusé subitement de me parler après notre dernière nuit torride. C’est ce qu’elle avait créé en me laissant enfin prendre les commandes d’une de nos nuits endiablés après deux mois où cela ne m’était pas permis. Une attente, une espérance, une addiction en quelque sorte. J’avais tenté de m’en défaire bien sûr. Parce que je ne l’aimais pas, cette place où elle avait tous les pouvoirs. Pas lorsqu’il ne s’agissait pas de sexe en tout cas. Je n’aimais pas le fait de devoir lui réclamer un post-it pour pouvoir la voir, comme le faisaient les autres mecs en ruts qui s’arrachaient secrètement ses faveurs sans que jamais cela ne se sache à Poudlard.

Une semaine plus tôt

Bordel de merde. Elle est en train de me rendre fou. Je n’arrive pas à savoir ce qu’elle a, ce qui se passe dans sa tête. Ça n’a aucun sens. Durant notre dernière soirée dans la salle sur demande, elle a pris son pied, tout comme moi. J’ai senti son corps se tendre sous mes doigts, j’ai vu ses yeux et ses cheveux changer de couleurs sous le coup du plaisir. Elle a joui putain. Alors pourquoi refuse-t-elle de m’adresser la parole désormais ? Pourquoi ne me donne-t-elle pas le post-it que j’ai déjà tant de mal à lui demander ? J’ai essayé d’en savoir plus pendant tout le cours. Le seul que nous avons eu en commun depuis des jours. J’ai essayé très fort. Et à chaque fois que j’abordais le sujet, à chaque fois que j’essayais de parler d’autre chose que de métamorphose, elle se fermait comme une huitre. J’ai beau avoir envie très fort d’abandonner, c’est plus fort que moi. Je veux savoir, je veux comprendre. Merde, je ne suis pas un mouchoir qu’elle peut prendre et jeter comme bon lui semble non ? Ok, c’est certainement un peu le principe de notre « relation », si l’on peut nommer cela ainsi. Echange de bon procédé me semble peut-être plus approprié. Mais jusque là, elle semblait bien apprécier nos entrevues alors pourquoi cela a-t-il changé si subitement ?

La cloche sonne. Elle va se barrer si je ne fais rien et j’en ai plein le dos de lui courir après. C’est la dernière fois que je tente quelque chose. Après, j’arrête. Je ne suis pas son putain de toutou. Si elle ne veut plus de moi, j’ai des dizaines d’autres meufs à ma disposition après tout. Mais bon, tenter une dernière fois de l’interroger, ça ne me coûte rien hein ? Non, ça n’est certainement pas si grave. C’est logique que je veuille savoir. J’attends que James, Remus et Peter disparaissent à l’angle du couloir avant de lui attraper le poignet pour l’emmener dans une classe voisine, que je sais désaffectée pour le moment. « Putain, sérieusement Su, tu veux bien m’expliquer ce qu’il se passe ?  » Silence. Pas de réponse. Elle ne me regarde même pas. Je prends une grande inspiration pour tenter de me calmer. Je suis prodigieusement agacé et je sais parfaitement que lui hurler dessus n’apportera rien si je veux avoir des réponses. Même si ça me démange, très fort. Cette situation me frustre et je déteste par dessus tout être frustré. Surtout pour une fille. C’est pas comme ça que les choses marchent, merde ! Sans lui faire mal mais sans lui laisser le choix pour autant, je l’attrape par les épaules pour la forcer à me regarder. C’est bien un truc de Serpentard ça, la lâcheté ! « Tu peux assumer au moins ou c’est trop te demander ? Tu veux plus me voir, très bien, mais dis moi le. C’est la moindre des choses. » Silence. Encore. Mais je vois qu’elle hésite, qu’elle ne sait pas quoi dire. Alors j’attends préférant me taire à mon tour que d’insister une nouvelle fois. De toute façon, elle ne me répondra que si elle l’a décidé. Elle aime bien ça Su, décider de tout. « Je n’ai pas de place dans mon planning en ce moment… J’ai d’autres clients… » J’encaisse sa remarque sans broncher et je serre très fort les poings pour ne pas l’envoyer se faire foutre tout de suite. Elle me ment. Ouvertement et très mal. Ça se voit comme le nez au milieu de la figure et le pire, c’est qu’elle aimerait que j’y crois. « Sérieusement ? C’est tout ce que tu as trouvé ? Je me demande comment tu arrives à cacher ton secret à tout Poudlard, parce que tu es une des pires menteuses que j’ai jamais vu ! Ça t’arracherais la gueule d’être honnête deux minutes ? » Ouais, je suis méchant. Mais s’il y’a bien deux choses que je n’aime pas dans ce monde, ce sont l’hypocrisie et les faux semblants. J’attends patiemment qu’elle trouve une nouvelle excuse bidon pour baisser définitivement les bras et la planter là. Cependant, contre toute attente, ce n’est pas du tout ce qu’il se produit. Avant que je n’ai eu le temps de réaliser ce qu’il m’arrive, elle m’attire à elle pour m’embrasser fougueusement. Dans ce genre de moments deux choix s’offrent à vous : lutter pour parvenir à repousser la personne et s’affirmer, par fierté. Ou mettre cette dernière de côté et s’abandonner. En toute honnêteté, la première option ne me vient même pas à l’esprit. Je suis en colère, je déteste qu’elle ait autant de pouvoir sur moi mais je suis surtout sérieusement en manque donc je ne peux juste pas envisager la possibilité de lui refuser un baiser. L’une de mes mains trouve naturellement sa place dans ses cheveux tandis que l’autre s’aventure plus bas, glissant de ses hanches à ses fesses pour l’attirer d’avantage contre moi. Dans cette position, elle ne peut rien ignorer du désir qui s’éveille en moi au fil des minutes, tandis que nos langues s’entremêlent et dansent un tango endiablé. Je vais la prendre, maintenant. Contre ce mur ou sur cette table de cours juste derrière. N’importe qui pourrait entrer mais je m’en moque, je ne peux pas attendre une minute de plus. « Patiente encre un peu… Tu veux bien ? » Un instant, les pires insultes traversent mon esprit. Comment peut-elle me demander d’attendre après m’avoir chauffé comme ça ? Cette fois c’est sûr, elle veut juste me rendre fou. « Sérieusement Su tu… » Son regard me fait taire instantanément et je ravale ma salive tandis qu’une bouffée de désir m’envahit. Putain de merde, ses yeux. C’est totalement débile mais un instant je me sens presque chanceux qu’une fille comme elle puisse me regarder comme ça. Puis j’oublie. Complètement. Parce qu’elle se met à genou devant moi et me demande une nouvelle fois si je veux bien patienter. Parce que sa main glisse sur ma braguette et que je me demande bêtement comment je vais tenir et ne pas exploser au bout de trois minutes dans sa bouche. « Ouais… » je souffle enfin, ne cherchant même pas à maîtriser ma voix, devenu totalement rauque. Elle a gagné. Parce qu’à l’instant, je me fiche bien qu’elle mente ouvertement, je me fiche bien qu’elle m’évite depuis des jours. Mais putain, c’est certainement la défaite la plus excitante et la plus agréable de ma vie…

**************


« La salle de bain des préfets est libre, tu devrais allé prendre un bain. Ça fera du bien à ton genou. » J’hausse un sourcil en direction de Remus, surpris par sa proposition. De nous quatre, c’est lui qui enfreint le moins souvent le règlement. Et lorsqu’il le fait, c’est d’avantage pour nous sauver la mise que par goût du risque. Certes, il m’est arrivé quelques fois d’utiliser la salle de bain des préfets mais j’ai toujours dû le tanner pour obtenir le mot de passe, il ne me l’a jamais proposé spontanément comme il vient de le faire là. « Bah alors Moony, on se rebelle ? Je croyais que la salle de bain était pour ton utilisation personnelle et que tu n’avais en rien l’autorisation d’en prêter l’accès ? » Je reprends ses propres mots pour l’agacer et ça fonctionne puisqu’il me donne un coup de livre pour toute réponse avant de se replonger dans son devoir de potion. « Merci, je vais sûrement aller y faire un tour » lui dis-je plus sérieusement en me relevant, grimaçant en posant la jambe par terre. Le dernier entraînement de Quidditch s’est avéré beaucoup plus acrobatique que prévu et je suis joliment tombé de mon balai alors que James et moi faisions la course tout en nous envoyant le souaffle. Je m’estime chanceux, parce que je ne suis pas tombé de très haut et que les autres membres de l’équipe ont ralenti ma chute, mais depuis, mon genou me fait un mal de chien. Aussi, l’opportunité de reposer ma jambe dans l’eau est bien trop tentante pour que je m’y refuse une minute de plus. D’autant que si je n’y vais pas, je vais devoir moi aussi me pencher sur mon travail en retard et vu la pile qu’il y a, c’est moyennement tentant.  

Je laisse donc mon ami à la bibliothèque et m’aventure un moment dans les couloirs pour rejoindre la salle de bain des préfets. James doit se demander  ce que je fais mais je n’ai pas le courage de repasser à la salle commune avant d’aller prendre mon bain. Je n’ai même pas de serviette mais qu’importe, l’appel de l’eau est plus fort que tout. « Putain… » C’est le premier mot que je prononce en entrant dans la pièce, qui n’est absolument pas libre puisque Sulpicia s’y trouve. Sulpicia dont j’attends des nouvelles depuis une semaine sans jamais qu’elles ne viennent. Sulpicia que Remus a dû envoyer ici ce soir pour que nous parlions, lassé de m’entendre me plaindre. « Je vais le tuer » je marmonne tout en me déshabillant. Ce ne sera pas la première fois qu’elle me voit nu et il est hors de question que je renonce à la baignoire qui s’offre à moi sous prétexte qu’elle s’y trouve. Je fais mine de ne pas remarquer qu’elle m’observe et refuse obstinément de tourner les yeux vers elle. Son corps nu et alangui n’est pas une image qui va m’aider à garder mon sang froid. Ce que je compte bel et bien faire. Elle ne m’a pas recontacté, il est hors de question qu’il se passe quoi que ce soit aujourd’hui. Enfin, j’imagine… Un soupir d’aise m’échappe lorsque j’entre enfin dans l’eau et je m’appuie sur le rebord, sentant rapidement mes muscles se détendre. J’oublie Su quelques secondes, profitant simplement de ce moment de détente. Jusqu’à sentir quelques remous tandis qu’elle nage dans ma direction, puis son coude sur mon épaule. Un sourire en coin se dessine sur mes lèvres malgré moi lorsque son joint entre dans mon champ de vision. Il n’y a pas à dire, elle sait comment profiter des bons moments et m’attendrir par la même occasion. « Tiens, tu te souviens encore de moi ? J’ai fini par croire que tu m’avais oublié et rayé de ton agenda j’avoue…  » La remarque est froide et amère, ce qui ne m’empêche pas pour autant de me saisir du joint et d’en tirer une longue taffe, toujours sans la regarder. Si je le fais, ça en sera terminé de mes bonnes résolutions…  
B-NET
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MessageSujet: Re: Novembre - Salle de bain des préfets.    Novembre - Salle de bain des préfets.  EmptyJeu 19 Juil - 12:37



Bleus et révélations
ft. Sirius O.Black & Sulpicia M.


M’ignorant   royalement, Sirius se déshabilla devant moi, retirant un à un ses vêtements, dévoilant son corps musclé d’athlète. Il fallait l’avouer, le jeune homme était vraiment bien foutu, mieux que la plupart de mes amants actuels. Non seulement il était l’un des plus jeunes, mais il savait se montrer fougueux … Inépuisable. Le griffon possédait de nombreuses qualités qu’il manquait à Seveurs, dont la passion, plus violente, était en lien direct avec son gout pour la magie noire. Il ne se contrôlait pas suffisamment, me blessant sans le vouloir et regrettant ses actes le lendemain. Le Serpent me griffait, me donnait des coups ou me serrait trop fort. Il lui arrivait de me prendre par les épaules pour changer de position, le faisant sans pincette dans l’excitation du moment. Ma peau laiteuse marquait facilement, au point où je faisais toujours attention à celle-ci : j’avais pour avantage d’être métamorphe et de pouvoir camoufler ceux-ci. Mais si je jouissais, si je prenais du plaisir, mon attention était détournée et mon pouvoir n’était alors plus d’aucune utilité.
S’excusant toujours, il me disait ne plus vouloir que l’on couche ensemble après chaque rendez-vous. Et comme toujours, il revenait me voir pour me redemander un nouveau tour… Puis un autre et encore un autre !

Laissant en tas ses vêtements, l’ainé Black, vexé, ne me regarde toujours pas et se tourne vers l’immense baignoire. Un bleu d’une couleur mauve ornait son genou. Remus m’avait touché deux mots concernant leur dernier entrainement au Quidditch qui s’était soldé par une jolie chute pour le batteur. Mon partenaire de botanique n’était pas allé plus loin dans les détails, sachant que je tenais ce sport en horreur.
Sirius, soupira d’aise une fois dans l’eau, il me faisait toujours la gueule et confirmait mes craintes. Il ne serait pas aisé de me faire pardonner mon oubli de cette semaine. Le sachant pertinemment, je me rapprocha du sang-pur, posa mon coude sur son épaule et lui tandis mon joint qu’il prit entre ses longs doigts. Il ne pouvait retenir un sourire en coin en le voyant. Le sorcier commençait à me connaître et mon gout pour les feuilles à fumer n’était en rien un frein aux yeux de celui-ci. Cependant, je faisais en sorte de ne pas trop faire apparaître mon véritable caractère de peur que celui-ci n’en parle à ses amis. Sirius avait la chance d’être entouré par des personnes qui l’acceptaient, des parents qui baissaient les bras et le laissaient vivre sa vie. Il m’arrivait parfois de l’envier. J’étais seule, sans amies. Les filles qui partageaient mon dortoir me trouvaient ennuyante à mourir et ne me parlaient jamais. Je n’avais que Remus, et Severus… Et encore… Je ne leur avais pas tout dévoilé ! Remus voyait clair dans mon petit jeu, mais pas Severus.

Tirant une taffe sur le joint, Casanova expira un filet de fumée de ses lèvres entre-ouvertes : « Tiens, tu te souviens encore de moi ? J’ai fini par croire que tu m’avais oublié et rayé de ton agenda j’avoue…  » Me lança-t-il, froid, amère, un peu hautain. Il avait ce flegme naturel des sang-purs qu’il ne pouvait renier, ce qui me fit sourire. A contrario du jeune homme, mon sourire était amusé. Je n’étais pas vexée par sa réaction, j’étais fautive et je l’assumais pleinement. Mon histoire avec Severus s’avérait  compliquée, trop compliquée ! Il me demandait beaucoup plus de temps que je ne me l’étais imaginé et m’épuisait régulièrement. Mes rendez-vous habituels avaient du être décalé au weekend, dans l’espoir que je puisse suivre et combler mes autres amants. Certains comprenaient que j’avais une mission et qu’il m’était difficile de les voir en ce moment, c’était des fidèles au Lord et voyait d’un bon œil ce futur recrutement via ma participation. Mais d’autres… Loin de là.

Je ris. Amusée par sa réaction. M’avait-il déjà entendu rire ? Je ne m’en rendais pas encore compte, mais j’avais bien trop chargé mon joint, qui me faisait effet ! Mon rire était doux, ressemblait beaucoup à ceux des enfants lorsqu’ils jouaient : innocent et joyeux. Entrainant, il donnait envie de m’accompagner et souvent, faisait partir un fou rire en plus du mien. Il révélait –à mon grand désespoir- ma véritable personnalité que je m’évertuais à cacher. Alors, je vins coller ma poitrine contre son flanc et lui susurra à l’oreille : « Et toi ? M’as-tu rayé de ton agenda Black ? » Joueuse, il ne pouvait se méprendre sur mes attentions… Ou presque ! Ma main disponible plongea dans l’eau, glissa le long du torse du jeune homme mais sauta au dessus de sa verge pour manipuler doucement son genou, mon regard s’était planté dans l’eau, devenu penseur. Mes yeux rosés par mon joint étaient soudainement vides. « Hum… Je vais t’arranger ca. » Et retira ma main et mon coude du corps du batteur de l’équipe des rouges et ors. Me tournant vers le rebord de la baignoire, posant mes mains dessus j’allais me relever mais, mon esprit embrumé me fit baisser la tête durant quelques longues secondes. Je poussa un soupir avant de me relever.
Sortant de l’eau, j’attrapai mon sac qui était un peu plus loin me mettant en quête d’ingrédients. Soigner son genou était une tache facile ! L’infirmière de l’école aurait pu lui faire en quelques secondes. Il avait du refuser d’y aller. Je fis un peu de bruit dans son dos, les flacons de mon sac titillaient les uns contre les autres jusqu’à ce que je trouve une pochette en tissus. Le tissu était grossier, comme une éponge : je la remplis d’un mélange de plusieurs ingrédients ressemblant à du sel. Retournant vers la baignoire, je me glissa de nouveau aux cotés de Sirius, fermant la pochette et la trempant dans l’eau pour la poser sur son genou.
Ce fut immédiat ! De la pochette sortait des bulles et de la mousse multicolores, plusieurs odeurs se mélangeaient, mais c’était agréable. Le jeune homme allait sentir des pétillements suivit d’un grand soulagement. « Ne bouge pas. » Ordonnais-je en me rapprochant de lui. J’étais assise à ses cotés, posant l’une de mes mains dans sa nuque et l’autre sur son visage, je vins embrasser sa joue, puis son cou et ensuite ses épaules. Collée contre lui, je descendis ma main de son visage pour aller sur son torse et commencer à le caresser doucement. Je dessinais les formes de ses pectoraux, attendant que la pochette fasse un minimum d’effet pour l’exciter encore plus.
Enfin ! La pochette fit des bulles rosées ! Ce fut à ce moment que je décidai de me mettre à califourchon au dessus de Sirius, kidnappant ses lèvres pour lui offrir un baiser fiévreux, ma poitrine nue, collée contre son torse. Ma langue jouant avec la sienne, mes bras autour de lui, mes mains jouant avec ses cheveux je me frotta un peu contre lui. Mon fessier frôlait délibérément son pénis, le narguant avec plaisir. Mordillant ses lèvres, je le libérai enfin pour lui murmurer chaudement : « Laisse moi te baiser. Laisse moi te faire jouir entre mes cuisses. Je me ferai pardonnée, tu verra.» Mes mains quittèrent ses cheveux pour se poser sur son torse. De nouveau, je jouais avec lui : ses lèvres frôlant les miennes sans pour autant l’embrasser. Je n’attendais jamais son autorisation, mais pour une fois, j’allais lui donner un peu de pouvoir… Je savais qu’il aimait ca, même si, moi, je n’aimais pas tant ca, perdre le contrôle. Ne pas décider. Ne pas dominer la situation.
Je le regardais de ce regard qui le rendait si fou : je brulais, mes yeux renvoyaient cette sensation de désir et d’envie, de dépravation. Ma main glissa entre nous et se fit caressante. Du bout des doigts je frôlais son pénis, de haut en bas, de bas en haut. Mes doigts virent à caresser ses bourses durant une longue minute, attendant sa réaction.



1 jour plus tôt.

Depuis que j’avais fais de sa virginité mienne, Severus me réclamait encore et encore que l’on s’envoi en l’air dans son dortoir. Je n’aimais pas ce manque d’intimité des dortoirs et encore moins que l’on sache ce que je faisais avec lui. Je n’avais pas besoin de briser ma réputation de reine des glaces pour la mission de mon frère. Je devais rester intacte dans cette histoire et continuer de garder les autres à distance –bien que Sirius ait, sur cette affaire, avancé de son coté-. Je ne savais encore pourquoi, mais j’avais accepté de le faire une seconde fois cette semaine alors que mes bleus venaient de disparaître. Il m’avait proposé de le rejoindre dans le dortoir, à une heure ou personne ne viendrait nous déranger. Quelques sorts furent lancés pour assurer notre discrétion et il me sauta dessus. Je ne le contrôlais plus depuis sa seconde fois, il avait prit le pouvoir entre nous et d’une manière bien différente de la domination de Sirius. Severus allait dans la domination sadique.
Me faisant tomber en arrière sur son lit, il arracha ma culotte et me pénétra sans ménagement. Je l’entendais souffler de plaisir. Au moins, il y en avait un qui prenait son pied. Moi, je simulais. Ce n’était pas comme si Severus était capable de se rendre compte si c’était le cas ou non. Il releva mes jambes, embrassant ma nuque, puis ouvrant ma chemise pour m’en débarrasser. Il restait souvent habillé lorsque l’on s’envoyait en l’air. Faisant le tour de mes seins, il eut l’idée de me maintenir les mains au dessus de ma tête pour m’empêcher de le toucher. Continuant à me marteler de ses coups de bassins. Je n’aimais pas cette position de dominée. Je me sentais démunie de ma personnalité. Démunie de mon humanité et en même temps, je ne pouvais pas prendre le dessus. Il se servait de sa force, perdait le contrôle de lui sans s’en rendre compte.
Il dura un moment au dessus de moi avant de lâcher mes mains et de me laisser passer sur lui. Agrippant mon fessier, je lui rendis ses coups de reins tandis que ma chevelure d’or frôlait son torse. Je soupirai, gémissais, stimulais toujours lorsqu’il ferma les yeux et lâcha un long râle de plaisir. Ses mains dans mon dos, vinrent me griffer. Lacérant ma peau fragile et laiteuse, je dus faire mine de ne rien sentir et vint cacher mon expression de douleur au creux de sa nuque, me baissant vers lui. Severus en profita quelques instants alors que je faisais des cercles avec mes hanches sur les siennes. Puis, il me souleva pour reprendre le dessus, d’un geste vif, il me retourna sur le ventre, me demandant de me mettre à quatre pattes. Je m’étais exécuté, n’appréciant absolument pas cette requête. Mais je me devais d’y répondre et de le pousser grâce à la puissance de mes cuisses, dans les rangs du Lord. Ou sinon, ce serait à moi de prendre sa place… Et je me ferai tuée au bout de 2 minutes top chrono. Je n’aimais pas l’idée de le pousser dans le camps du Lord et je me devais de trouver une solution pour nous deux. Mais c’était difficile… Surtout lorsqu’il me prenait comme il le faisait maintenant.
Posant une de ses mains sur mon épaule, il me serra un peu trop fort. Je dus tirer une grimace en serrant les dents pour ne pas qu’il remarque mon déplaisir. De toute façon, ce n’était pas comme s’il pouvait lire mon expression faciale maintenant. Il abusa de son pouvoir sur moi pour appuyer de nouveau sur mon épaule et me faire pencher en avant. Ce que j’avais horreur de ca ! Ma joue cogna contre le sommier du lit. J’allais avoir un beau bleu.
Le temps me parut long, devant simuler encore et encore, je ne prenais absolument aucun plaisir. C’était plus une corvée qu’autre chose pour moi qui n’avait pas l’habitude de me faire dominer ! De cette façon ou d’une autre ! Enfin, il finit sa besogne, se laissant tomber à mes cotés. Je l’observais reprendre son souffle, les yeux fermés tandis que je me surprenais à penser que Sirius me manquait. Que Severus devrait prendre quelques leçons auprès du Gryffondor … mais qu’en même temps, j’étais là pour qu’il perde le contrôle. J’en faisais juste les frais…
Et dire que s’il n’était pas si dominant, Severus pouvait être un bon coup… Lui, qui était mon ami…



Une semaine plus tôt.

Son pénis grossissait à vue d’œil alors que nous échangions un baiser enflammé. En manque, Sirius ne refusa pas un échange, encourageant celui-ci en y répondant et en glissant une de ses mains dans mes cheveux, l’autre sur mon fessier. Gémissant un peu en l’embrassant, je l’allumais volontairement. Je ne comptais pas le laisser sur la brèche ainsi en ne lui offrant qu’un baiser. Personne à ma place ne l’aurait fait. Pas même ses groupies, si l’on pouvait imaginer deux secondes qu’elles puissent lui offrir ce que moi, je lui offrais.
Sirius s’était brulé les ailes en pensant dominer un jeu auquel il était devenu accro. Je savais que personne ne le baisait comme je le faisais. Ces filles qui lui tournaient autour n’avaient pas la même expérience que moi. Elles espéraient toujours le voir, s’envoyer en l’air avec lui, mais elles étaient à usage unique. Personne n’avait besoin d’en parler, c’était un mot inaudible qui s’était faufilé dans tout Poudlard. Elles n’étaient rien qu’un mouchoir jetable.
Moi, je savais manipuler un homme avec la promesse de mes prouesses sexuelles. Je savais les rendre accro à mon fessier et à mes baisers. Je devenais en quelques jours une drogue dure. Une obsession. Je les faisais jouir comme jamais. Je les contrôlais. Les manipulais. Ils étaient miens. J’offrais une expérience que nulle autre n’avait osée avant moi, et je le savais.
Alors, lorsque je lui demandai de patienter encore un peu, Sirius ouvrit la bouche pour protester mais ce tut lorsqu’il planta ses yeux dans les miens. Je venais de l’ensorceler grâce à une arme redoutable : le manque. Je lui promettais, sans le lui dire directement, qu’il ne regretterait pas d’accepter. J’obtenais de lui une capitulation totale.
Je me mis à genou, répéta, mes mains sur sa braguette. Il me donna son feu vert, la voix rauque, visiblement excité. Sa verge était tendue, un peu trop serré dans son pantalon d’uniforme. Je la libéra en déboutant son bas, dézipa sa barguette et baissa le tout avec son caleçon. Mes yeux n’avaient toujours pas quitté les siens, et je souris en coin. Sirius allait en redemander, j’allais m’en assurer. Je me rapprocha légèrement, posant une de mes mains sur son fessier : il pouvait sentir la différence de chaleur entre ma peau et mes nombreuses bagues. Mon autre main vint caresser ses bourses du bout des doigts durant quelques secondes. Puis, je retira mes bagues de ma main droite en les glissant dans ma bouche pour les avancer sur le bout de mes doigts. Mes bagues finirent dans la poche de ma veste d’uniforme et enfin, j’offris à Sirius ce qu’il attendait, ardemment, si je pouvais en juger par son excitation actuelle.

Comptant débuter en douceur, je me mis à jouer avec ses bourses, les faisant glisser sous mes doigts de gauche a droite, caressant celle-ci en douceur. Elles durciraient, elles aussi, au fil des minutes : il était plus que prêt dans ce jeu du plus fort, s’offrant totalement à moi. J’avais envie de lui lancer un dernier regard mais, je me contenta de souffler sur son gland, doucement, avant de remonter ma main sur sa bite et la prit en bouche. Dans un premier temps, je me contenta de suçoter son gland, masturbant Sirius d’une même vague. Les yeux fermés, je continuais de le tenir d’une fesse pour qu’il ne bouge pas. Ma main libre, continuait de suivre ma succion à la différence près que j’avais arrêté d’aspirer son gland. Cette fois-ci, je le pris entièrement en bouche. Aspirant sa peau dans un mouvement d’aller et retour contradictoire. Son pénis durcirait encore plus, je l’entendais souffler de plaisir sans pour autant m’arrêter. Au contraire, j’entrepris d’accélérer le mouvement. Simultanément, je repris mon massage de ses glands via ma main libre. Ma langue jouant avec sa verge, mes lèvres la gardant prisonnière. Je serra un peu plus ma main sur sa fesse que je descendis légèrement pour l’exciter encore plus.
Enfin, il était temps d’assurer ma domination sur le jeune homme en prenant de nouveau en main son pénis – sans que ma bouche ne le quitte- libérant son fessier pour continuer le massage de ses bourses. J’allais le faire partir, je n’avais besoin que de quelques minutes pour cela et puis… Sirius déposa les armes, remplissant ma bouche de son liquide que j’avala.
Libérant son pénis de ma bouche et de mes mains, je me relève, essuyant du bout des doigts mes lèvres pour les lécher par la suite, plantant mes yeux dans ceux de Sirius pendant que je m’exécute. Une fois chose faite, je vins l’embrasser, moins fougueusement pour ne pas réveiller la bête d’hormone qui maintenant, somnolait en lui. J’avais rempli mon contrat. Je lui avais donné un peu de répits jusqu’à notre prochaine rencontre. Je me recule donc, l’observant toujours de ce regard brulant qui le dévorait pour glisser mes mains sous ma jupe et lentement, faire tomber ma culotte à mes chevilles. Me baissant, je quitta ses yeux quelques secondes pour attraper ma culotte, la mettre en boule et la glisser dans la poche de pantalon de Sirius, que je remonte au passage. « Je te laisse un petit souvenir. » lui susurrai-je avant de lui voler un autre baiser.




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